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 Etre en vie, c'est avoir envie - Sebastian

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Sebastian Maleo
Sebastian MaleoEtre en vie, c'est avoir envie - Sebastian 160712115220914369

Date de naissance : 14/08/1982
Messages : 92



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   Etre en vie, c'est avoir envie - Sebastian EmptyMer 13 Juil - 23:22

Sebastian Maleo


Identité du personnage

Prénom : Sebastian. Nom : Maleo. Date de naissance : 14 aout 1982. Lieu de naissance : Polynésie Francaise. Nationalité : Française. Origines : Espagnol de par ses ancêtres, Française depuis trois générations. Profession / Etudes : PDG des Galerie Maleo. Orientation sexuelle : Bisexuelle, on le connait plus sous ses relations hétéro. Etat civil : Célibataire, marié une fois, mais il n’aime pas en parler. Donc oui, divorcé, mais c’est une longue histoire… enfin plutôt courte en réalité et tellement banal de nos jours. Votre famille et les relations avec elle : Plutôt bonne. Ca n'a pas toujours été le cas avec son père, mais ça c'est arrangé. Il est très famille. Que pensez-vous d'Ajaccio ? C'est une jolie ville, où il fait bon vivre. Sinon, il n'y habiterait pas. Groupes : Envie. Pourquoi ce péché ? Parce que Sebastian est attiré par beaucoup de chose. Il aime la beauté, les voitures, le high-tech et s'il ne se retenait pas, il ne se priverait pas d'acheter, encore et encore pour le simple plaisir de posséder. Avatar : David Gandy.

L'histoire du personnage

1. Sebastian est l’ainé de la famille Maleo mais de très peu puisque son frère Tobias a pointé le bout de son nez quelques minutes seulement après lui. Bien qu’il soit de faux jumeaux, les deux bambins n’ont cessé de découvrir le monde ensemble. Un monde remplie de richesse, puisque les Maleo font parties des familles les plus influentes du pays. L’entreprise familiale située à Paris, c’est dans cette ville qu’ils ont grandi, mais plusieurs Week-end par moi, ainsi que pendant les vacances scolaires, c’est en Corse que la famille se retrouve dans leur villa de Vacance, à quelques kilomètres d’Ajaccio. Sebastian avouera que c’est ici qu’il a passé ses meilleurs moments.
2. A à peine onze ans, l’ainé est séparé de son frère jumeau. Il sera scolarisé en, Angleterre afin d’y apprendre parfaitement la langue de Shakespeare. Benito, son père a de grand projet pour lui. Il reprendra son flambeau lorsqu’il prendra sa retraite, car cette entreprise a été dirigé par des hommes et toujours les ainés de la famille. Tel un enfant voulant rendre fier son père, il ne s’opposera pas. Son frère lui manque chaque jour. Les parents Maleo, eux, pensent que c’est une bonne chose de les éloigner afin d’éviter qu’ils dépendent l’un de l’autre. Cette sorte de sevrage portera ses fruits, plus à l’un qu’à l’autre cela dit. Tobias a toujours besoin de passer la moindre minute de son temps avec Sebastian lorsque ce dernier rentre à la maison. L’ainé, lui, n’a plus de mal à gérer sa solitude et l’apprécie même parfois. C’est lors de ses onze ans également qu’Illia met au monde une fille, Hilaria.
3. L’Empire des Maléo évolue et Benito abandonne femme et enfants plusieurs semaines par mois pour exporter son entreprise aux Etat-unis. C’est ce moment que Sebastian choisit pour se rebeller contre les projets que son père a établi pour lui. Après une longue discussion avec Illia, sa mère, elle en conclue que son fils est malheureux et ne peut s’y résoudre. Dans le dos de son père, il intègre une école d’Art à Paris. C’est ce qu’il veut, c’est sa passion. Lorsque son père s’en rend compte, il ne peut faire machine arrière. Son fils à son propre appartement et rentre le moins possible lorsque son père est de retour en France. Il ne répond plus au téléphone et laisse passer plusieurs mois avant de reprendre contact. Ce n’est pas pour autant qu’il ne voit plus son frère, sa mère est sa jeune sœur.
4. Etudier l’Art, c’était le rêve de Sebastian. L’homme n’a qu’un désir, mettre en valeur les beautés qui l’entourent, comprendre le monde du désir, de l’attirance. Ressentir les émotions, s’en imprégner, s’évader loin de ce sombre monde qu’on lui prépare depuis si longtemps. C’est à cet instant précis qu’un phénomène impressionnant explosa en lui. : Sa naissance. L’apparition des couleurs, des formes, de l’intense. L’apparition des rassemblements fumettes surtout, des soirées de beuveries, dissimulé sous forme d’excuse de projet scolaire. Fumons pour sentir l’inspiration nous envelopper, buvons pour contempler les toiles s’étoffer et exploser de leur folie délicate comme la caresse d’une plume sur un océan, baisons pour comprendre l’intensité des formes sous une peau chaude et perlant de gouttelette de sueur au parfum passionné. Heureusement qu’on ne leur demandait pas toute les démarches de leurs projets. Le jeune Maleo avait appris bien plus en quelques mois que dans toute sa vie dirigée par son père. Non, l’expérience, c’était de tenter des choses nouvelles et de ce côté, le jeune homme ne fut pas en reste. Femme, homme, à deux, à trois, à dix, à ne plus savoir compter. Il avait eu son lot de pratique pendant des années et jure aujourd’hui qu’il ne regrette rien de cette époque.
5. Et puis un jour, il fallut rendre des comptes. Alors que son père songeait que tout ceci n’était qu’une passade, Sebastian s’accroche à ses rêves. Lorsque Benito décide de le ramener à la réalité, à ses 21 ans, son fils prend la fuite. Il part, avec sa petite amie de l’époque, aux Etats-Unis, dans la ville du pêché. C’est à ce moment qu’il a le plus déconné. Une soirée arrosée, un mariage consumé et des regrets en début de matinée. Sebastian n’avait pas prévu de faire sa vie avec cette fille. Ils sortaient ensemble pour s’amuser, c’est tout. Elle et lui avaient partagé bien trop d’expérience dans le pêché de la luxure que leur relation ne pouvait être sérieuse. Ainsi, paniqué, le premier numéro qu’il composa était celui de son père, déjà dans le pays. Lorsque celui-ci arriva, il prit le relai et Sebastian s’enfuit dans la maison Corse sans oser adresser un regard à cette femme. Il ne la revit plus jamais. A Ajaccio, Il se mit à réfléchir de nouveau, se rappelant du regard de son père, déçu, abattu par tant d’immaturité, de bêtises. Ce coup de massue lui fit prendre conscience qu’il avait vraiment merdé, mais ne regretta pas toutes ces dernières années qu’il considéra comme essentielle. Seulement, il était maintenant tant de raviver cette lueur de fierté qu’il lisait parfois dans le regard de son père, enfant.
6. Retour à Paris où le jeune Sebastian tente de redorer son image aux yeux de son père. Ce dernier mène sa société depuis ses locaux parisiens afin de garder un œil sur son fils. Sebastian lui rend des comptes, fait acte de présence et surtout acte de sobriété. Il soigne encore plus son apparence, sa gestuelle, sa manière de s’exprimer. Il se formate à ce qu’on attend de lui. Il perd peu à peu sa propre lueur dans ces yeux, celle de la passion. Son sourire n’est qu’une facette, ses conversations sont dictées par ce qu’il faut dire. Il devient exemplaire. Et malgré les félicitations de son père, il ne la voit pas et il ne comprend pas jusqu’où il lui faut aller pour la revoir, cette lueur. Et un jour, il comprend. Son père n’est pas dupe, il sait qu’il n’est pas heureux ainsi. Le fils n’ose répondre à cette remarque, il a peur de mal faire, de le décevoir un peu plus. Mais Benito s’est réveillé et est bourré de bonnes intentions. Il lui fait comprendre qu’il ne peut le retenir, qu’il doit faire ce qu’il souhaite de sa vie. Un sourire se trace, une larme roule sur la joue du jeune homme. Pleurer devant son père n’est pas interdit. Il l’aurait pensé auparavant. A présent, il n’en éprouve aucune gêne. Dans une étreinte, il se partage le reste de leurs maux. La proximité entre les deux hommes n’a jamais été telle. Demain, il retournerait sur les bancs de son école. Celle qui lui plait, celle qui lui apporte tant.
7. Pendant une décennie, il a enfin vécu sans se soucier du regard de son père. Pourtant, la piqûre de rappel après son voyage à Las Vegas lui fit prendre conscience qu’il aimait une partie de l’homme façonné par Benito . La drogue, il l’oublia. La boisson, il la modéra et le sexe, le sexe reste le sexe, même si plus les années passait et plus ça fougue s’estompait. Non pas qu’il s’en lassait. Il éprouvait juste le besoin de ne plus en abuser. Il se rapprocha de sa famille, partageant des moments forts avec son frère qui avait également emménagé en Corse, entretenant une relation complice avec sa jeune sœur qui, semblait-il, voulait faire ses preuves aux yeux de son père.
Pendant cette décennie, il ignorait qu’une femme avait un jour mis au monde une enfant qui, malgré lui, dû vivre sans son père. Benito était le seul à savoir que cette femme qu’il épousa brièvement à la capitale de la luxure avait eu cette enfant et s’arrangea pour que Sebastian ne le sache pas, payant la jeune femme au-delà de ses attentes pour qu’elle se taise. Cette nouvelle, à cette époque, aurait eu un effet dévastateur sur le jeune homme que son père tentait de remettre sur le droit chemin avant de se rendre compte que cela ne le rendrait pas heureux. Mais le temps avait passé et Benito n’avait pas réussi à révéler ce secret qui le pesa un peu plus chaque jour, chaque mois, chaque année, jusqu’à ne plus oser y songer.
Alors que Sebastian croquait la vie à pleine dent, n’hésitant pas à mettre sa vie en danger pour des sensations fortes : saut en parachute, course automobile sur circuit, moto cross, flying-suits, surf… Une petite fille l’attendait. En sachant ça, il n’aurait peut-être pas frôlé la mort à 26 ans après une chute lorsqu’il pratiquait l’escalade, c'est du moins ce que pensait sa mère. Il se souvient d’avoir vu son corps depuis le plafond ainsi que les médecins s’affairer pour le sortir d’affaire. Après avoir rejoint son corps, il avait attendu quinze jours avant d’ouvrir les yeux. A son chevet, son frère, sa sœur âgée de 14 ans à cette époque, ainsi que de sa mère dormait sur un fauteuil au coin de la chambre. Il leur avait raconté cette sensation étrange qu’il avait eue lorsque les médecins tentaient de le ranimer. Illia lui avait demandé de lui promettre de ne plus jouer avec sa vie et d’oublier ses hobbies dangereux. Il n’avait pu s’y résoudre, argumentant que la vie, c’était aussi le danger. Faible encore quelques heures après son réveil, il perçut faiblement les plaintes de sa mère dans le couloir, un peu plus tard : « Tu dois lui dire maintenant ! Ça a assez duré. Il doit savoir. Il arrêtera peut-être ses bêtises après ça. » Les paupières lourdes, il avait eu envie de lutter pour en savoir davantage sur cette discussion. Mais le sommeil l’emporta. A son réveil, il avait demandé à son père avec qui sa mère se prenait la tête et pourquoi. Il lui raconta qu’il était son interlocuteur, mais qu’il discutait d’un collègue de travail. Sebastian ne sut dire pourquoi, mais il n’y crut pas. Sa longue rééducation lui prit, cependant, trop de son temps pour qu’il continue à s’en préoccuper. Mais il était sûr que ça reviendrait sur le tapis, un jour.
Aujourd’hui, Sebastian se sent heureux. Il ressent un certain manque, mais le met sous le compte du célibat. Il tient une galerie d’Art et s’applique à mettre à l’honneur tous les artistes qu’il trouve ou qui font appels à ses services. En cachette, il peint, il photographie. Il est plutôt bon, mais considère son travail bien moins bon que celui de ces clients. Alors peu, très peu sont ceux qui connaissent la pièce où se trouvent ses œuvres.

En savoir plus...

Caractère :
Sebastian est quelqu’un qui sait écouter. Il a l’oreille attentive, toujours prêt à réconforter autrui. Cela peut-être envers un ami ou l’enfant qui à chuter dans un parc. D’ailleurs, il a toujours le regard qui voyage par ci et là. Il observe, apprécie les petits riens que la nature lui offre. Il prend soin des autres et de ce qui l’entoure. Il est d’ailleurs assez manique, rangeant sans cesse ses affaires. Lorsqu’une chose ne va pas, il le voit. Si un intrus, aussi minuscule soit-il se présente sur une photographie, il ne verra que ça. C’est son côté perfectionniste.
Bien qu’il soit responsable, cela ne lui empêche pas d’être une tête brulée. Il n’a pas peur de la douleur. En témoigne ces trentaines de fracture qu’il s’est fait alors qu’il mettait sa vie en danger lors de ses activités extrêmes. Bien que sa mère lui ait demandé plusieurs fois d’arrêter ses loisirs dangereux, il continue à être imprudent. Il peut s’avérer très têtu.
Sans s’en rendre compte, Sebastian est un charmeur. Il séduit, parfois à son insu, porté par son élégance et la tendresse qu’il dégage. Mais il est joueur également ; Pendant longtemps, la séduction était une activité comme une autre pour lui. Il aimait envouter et finissait ses nuits rarement seul. Si aujourd’hui il continue à charmer, il s’est calmé sur ses activités nocturnes.
Il n’a que trop peu connu l’amour pour savoir comment il se porte dans de telle relation. Cependant, il y a une chose dont il est sûr, il sera fidèle lorsqu’il trouvera son grand amour, mais il sera aussi jaloux. Pour lui, c’est une évidence.
En savoir plus :
01) La première passion de Sebastian est l’art. L’art sous toutes ces formes. Il lui est arrivé de retourner à Paris pour y voir des opéras ou des balais. Mais il est par-dessus tout tous ce qui fait référence à l’image : Le dessin, la peinture, la photographie. Il est lui-même un artiste qui s’évade dans ses toiles, mais dont il ne parle que trop peu et surtout ne montre pas.
02) Casse-cou, il pratique plusieurs sports extrême : saut en parachute, course automobile sur circuit, moto cross, flying-suits, surf…, il adore se faire peur. Il est bon dans ce qu’il entreprend et malgré quelques chutes, il retourne toujours à ces activités.
Collectionneur, il cajole sa voiture de collection, une Mercedes 190SL de 1959. Il aime d’ailleurs la plupart des véhicules, surtout lorsqu’elles sont sportives ou de collections limitées.
03) Il fait importer un Whisky d’Irlande. Le Midleton very rare. Ça lui coûte cher, mais il en est tombé amoureux lors d’un voyage dans le pays où il est distillé. Aujourd’hui il ne peut plus s’en passer.
04) Sebastian ne sait jamais vraiment mis à fumer. Il lui arrivait d’en griller une lors de ses études d’art, mais il ne s’agissait pas que de tabac la plupart du temps. Il a laissé tomber ce vice.
05) Il aime la nourriture. S’il privilégie les restaurants et les repas gastronomique, il lui arrive de manger un gros bon hamburger bien gras. Cela dit, il évite et s’entretient pour ne pas que ça se voit sur son corps.

Un peu de toi...

Je m'appelle Yohan, mais je préfère qu'on utilise mon pseudo Djoan (anciennement didoum). Je suis âgé de 31 ans. Je suis arrivé ici grâce à celle que je suis jusqu'à ses magasins de lingerie, sisi !, et je l'ai tout de suite trouvé très beau !. Mon personnage est un personnage inventé. J'autorise Seven Sins à me lancer des défis en lien avec mon péché capital (en savoir plus). Et enfin j'ajouterai que les dragibus, c'est la vie.



Dernière édition par Sebastian Maleo le Jeu 14 Juil - 1:09, édité 2 fois
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Lorenzo Persico
Lorenzo PersicoEtre en vie, c'est avoir envie - Sebastian 160712115220914369

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   Etre en vie, c'est avoir envie - Sebastian EmptyMer 13 Juil - 23:29

T'es beau. I love you
Bienvenue chez toi. I love you
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Lorenzo Persico
Lorenzo PersicoEtre en vie, c'est avoir envie - Sebastian 160712115220914369

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   Etre en vie, c'est avoir envie - Sebastian EmptyJeu 14 Juil - 1:16

Groupe : l'envie. (a)
Boooon. Je te valide à ta place, hein. Ezelio est content d'avoir son meilleur ami. *-*
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Sebastian Maleo
Sebastian MaleoEtre en vie, c'est avoir envie - Sebastian 160712115220914369

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   Etre en vie, c'est avoir envie - Sebastian EmptyJeu 14 Juil - 2:23

Haha ! J'aurai pu le faire. Tu ne m'en as pas laissé le temps. rire
Oui ! C'est cool, pas besoin de chercher ! ^^
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Lorenzo Persico
Lorenzo PersicoEtre en vie, c'est avoir envie - Sebastian 160712115220914369

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   Etre en vie, c'est avoir envie - Sebastian EmptyJeu 14 Juil - 2:32

Tu ne m'as pas laissé le teeeeeemps de te diiiiiiire nananana... rire
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Sebastian Maleo
Sebastian MaleoEtre en vie, c'est avoir envie - Sebastian 160712115220914369

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   Etre en vie, c'est avoir envie - Sebastian EmptyJeu 14 Juil - 2:48

"Tu ne m'as..pas laisséé le temps, de te dire tout c'que je t'aime et tout c'que tu me manques,
on devrait toujours dire avant, l'importance que les gens prennent, tant qu'il est encore temps,
mais tu ne m'as pas laissé le teeeemps ! ♪

Toi, qui m'a tout appris,
Et m'as temps donné, c'est dans tes yeux qu'je grandissAAAIIIIIaiiiiiiaiiiiis,
et me sentais fier,...♫"

J'arrête là. Mais j'avoue, j'ecoute cette chanson très souvent.
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Ezelio Deribay
Ezelio DeribayEtre en vie, c'est avoir envie - Sebastian 160712115220914369

Date de naissance : 09/05/1984
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   Etre en vie, c'est avoir envie - Sebastian EmptyJeu 14 Juil - 16:56

Je l'écoutais aussi souvent à une époque... xD C'est le seul titre que je connaisse de lui.
Tu me réserves un sujet !!!
(Oui, je compte te harceler tant que je ne l'aurais pas ! xD)
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